Bureau du 9 mars 2012 – Compte-rendu
Ordre du jour
– représentation de BéC au conseil de direction de Bégawatts
– demande de subvention à « Toit Solaire Mellac »
– idées sur les projets à mener
Présents : Gérard Deprecq, Liliane Kersual, ,Jean Luc Danet, Anaig Lucas
Absent : Patrick Câtel
1 Représentation de BéC au conseil de direction de Bégawatts :
Résumé post-réunion:
Il avait paru intéressant que BéC soit présent au sein du conseil de direction de Bégawatts pour acquérir une expérience pratique de la vie d’une SAS organisée en collèges d’actionnaires.
Gérard s’était porté candidat, mais a renoncé ultérieurement à la réunion du bureau compte tenu de sa disponibilité insuffisante.
2 Demande de subvention à « Toit Solaire Mellac »1 :
Nous avons décidé de présenter une demande de subvention à TSM. Pour TSM, il s’agirait en fait de constituer une provision pour subventionner un projet qui serait précisé ultérieurement. Ce crédit serait déblocable sur conditions du comité de pilotage.
Montant de la demande de provision : 1 000 €
3 Idées sur les projets à mener :
Quelle suite à donner au document rédigé par Gérard et intitulé « Critique formule de révision du tarif PV »2 ?
Pour valider l’interprétation, il faut interroger
HESPUL, association spécialisée dans le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique dont le site Internet est http://photovoltaique.info.
Dans l’hypothèse de validation de cette interprétation, le prix de rachat de l’électricité produite à partir de panneaux photovoltaïques est une tromperie sauf si :
– c’est par éthique que l’on investit pour produire de l’énergie renouvelable ;
– on considère que ce n’est pas un placement mais une action écologique ;
Le Bureau est d’accord avec Gérard pour creuser la piste du financement de projets grâce à des dons car cette possibilité nous délivre des contraintes juridiques et financières importantes imposées par la constitution d’une société SAS ou autre.
Cette approche présente plusieurs avantages:
– moins de contraintes réglementaires,
– publicité possible,
+ réduction du montant des participations individuelles (5 €, 50 €, …) d’où une démarche grand public et populaire possible,
– libre choix de répartition des profits,
– etc.
Liliane évoque la possibilité d’être agréé association reconnue d’intérêt général ou public.
Il faudra aussi bien sûr évaluer les difficultés.
Gérard contacte François Corre, Ville de Lorient-Direction Générale des Services Techniques cellule Environnement – Chargé de mission Agenda 21 et Plan Climat Territorial, qui nous a contacté le 24 février.